IYGI, GITMF Aact
Par tcrxt le samedi 5 août 2023, 05:26 - trou - Lien permanent
Dépêche, Washington DC, Washington DC, United States of Americas.
Suite à la vague d’indignation provoquée par le cas Claubert Ément, le Président Piden a decidé de passer en force le If you got it, give it to me fucker (IYGI, GITMF) Act.
En substance, le IYGI, GITMF impose aux companies qui possède une information sur vous de l’utiliser plutôt que de vous forcer à fournir cette information.
Cette mesure, populaire, suit l’indignation qui a suivi C. Ément: celui-ci avait dû retourner dans sa chambre d’hôtel chercher sa référence d’embarquement pour un bagage perdu, référence qui était évidemment à la disposition de ces bâtars de American Avions.
En exclusivité Joueb de mcirla0b, Claubert nous confie :
Cette mesure est un grand pas en avant pour incommoder ces rognures de moisissures qui nous forcent à fournir des informations qu’ils ont. J’espère qu’une des conséquences de cette mesure audacieuse est que je n’aurai plus à me souvenir de quoi que ce soit, et qu’il me suffira de demander à ceux qui traquent mes mouvements et actions quel est mon digicode, le nom de ma petite amie, sa date de naissance, ou encore mon propre mot de passe.
Rappelons que le mouvement d’indignation avait fait suite au billet suivant de C. Ément:
GrogrogGo a vivement protesté, faisant état du fait que leurs bases de données étaient un merdier indescriptibles. Son résident de direction approximative, Grok Grok Go, nous déclare:
En admettant qu’on a ces informations, c’est un tel merdier là-dedans qu’on ne sait pas trop comment s’y prendre. Oui, évidemment, on sait quelle est cette vidéo pornographique que vous avez tant apprécié étant pré-pubère, mais cette information est entre de meilleures mains dans les mains de companies de yaourt qu’entre celles du « client » de nos services. Qu’est-ce que ça peut bien leur foutre, à nos client ?
Le Président Piden semble quant à lui confiant que cette mesure augmentera le bien commun, en faisant bien chier l’internet tel qu’on le connaît.
À vous les studios.
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