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jeudi 5 novembre 2020

L'exact opposé, 2ème partie

(Les molosses, pourtant célèbres par la pureté de leur race et par leur courage, geignaient en groupe au bord d’une profonde déclivité de terrain, d’un goyal comme nous disons ; quelques-uns s’en écartaient furtivement ; d’autres, le poil hérissé et l’œil fixe, regardaient vers le bas de la vallée étroite qui s’ouvrait devant eux." (Le chien des Baskerville)

Goyal est un mot inventé par Arthur Conan Doyle pour désigner une vallée sombre et profonde, sans doute pour appuyer ces caractères effrayants et presque fantastiques.


Une définition est disponible ici : https://www.merriam-webster.com/words-at-play/10-sherlock-holmes-words

Alors pourquoi s'intéresser à ce mot bien lugubre alors que nous venons à peine de céder une heure de soleil à l'hiver. Et bien justement parce que la seule autre occurrence du mot GOYAL est le nom d'un prestigieux joailler parisien qui fabrique donc des choses petites, brillantes et en relief.


L'un est aussi sauvage et naturel que l'autre est artificiel et raffiné, soit l'exact opposé quand on considère de surcroît que, suivant les profils psychologiques et les tendances à l'extraversion ou à l'introversion, l'un est aussi repoussant que l'autre est attractif.

dimanche 3 novembre 2019

Jean-Louis Ye

Bon.

Je pensais faire un billet conspirationniste pour expliquer que Kayne West et Jean-Louis Costes était en fait une seule et même personne, Jean-Louis Ye, ou Kayne Costes:

- Avec une conscience du monde assez rare,

- Accro aux réseaux socios ( https://twitter.com/KanyeWest et https://www.facebook.com/jeanlouis.costes.pagefan ),

- Faisant des trucs chelous avec la religion depuis peu,

- Avec des paroles, dans le temps, « gangsta », mais se mettant maintenant en retrait,

Mais il s’avère que Kayne West a toujours fait des paroles un peu … divines (peut-être que Jean-Louis aussi, note bien), et que du coup c’est moins amusant. Bref, une idée que je ne sais où mener…

Peut-être un amusement que, quelque part, maintenant que Ye a exécuté un peu du plan de Costes, on peut se la donner…

jeudi 21 décembre 2017

Macron ou Macron ?

ӣ

ē

ȭ

ȳ

Attention il y a un piège (et ce n’est pas parce qu’un certain type de macron vient d’avoir 40 ans).

mardi 5 août 2014

Test du SONY DIGITAL MAVICA MVC-FD71

Autant le dire immédiatement : le constructeur SONY a fait forte impression en annonçant la sortie de cet appareil photographique à stockage des vues numériques. Ce sont en effet des disquettes 3 pouces 1/2 (d'une capacité allant jusqu'à 1,4 mega-bytes) qui remplacent nos bonnes vieilles pellicules. Les photographies sont ainsi duplicables à l’infini, facilement stockables, peuvent être communiquées par e-mail et imprimées depuis toute imprimante domestique ou professionnelle.

Si le rendu peut être parfois décevant, notamment à cause des faibles résolutions des imprimantes les plus communes, il n'en reste pas moins que tous les lecteur du joueb de micr0lab ne pouvaient que brûler d’impatience de découvrir les entrailles de cette bête. Nous vous proposons donc un banc d’essai détaillé, photographies d’illustrations à l’appui.


Nous vous renvoyons au carton pour un descriptif des capacités de ce petit monstre :

Les disquettes s’insèrent latéralement, comme suit :

Comme vous pouvez le voir, sont à votre disposition les touches suivantes :

  • Une molette bi-directionnelle de Zoom bien pratique (avec un Zoom optique grossissant jusqu’à 10 fois!)
  • Le rétro-éclairage de l’écran (qui permets un aperçu en temps réel des photos !) peut se désactiver
  • La luminosité de l’éclairage peut être facilement réglée
  • Un flash désactivable
  • Des effets sur les images, qui bascule entre les effets suivants :
    • NEG. ART (ici combiné avec le mode « multi » pour un effet saisissant et artistique)
    • SEPIA
    • B. & W.
    • Solarize
  • Des programmes adaptés à toutes les prises de vues :
  • Et par la touche display on règle l’affichage :

Mais aussi :

  • Croix 4 directions pour naviguer dans le menu, comme suit:
  • Témoin visuel d’accès à la disquette
  • Bouton marche / arrêt astucieux (on ne peux le pousser par erreur)
  • Bouton pour prendre les photos
  • Réglage du focus (deux positions : auto et manual)
  • Vis pour fixer pied
  • Interrupteur pour choisir entre les modes « prise de vue » et « lecture des vues déjà prises et stockées sur la disquette »
  • Emplacement pour disquette 3 pouces 1/2.

Et voilà pour finir une petite galerie qui illustre les capacités de ce petit monstre. Comme vous pouvez le voir, je me suis bien amusé avec le mode « multi ».

 

En conclusion

À noter la présence appréciable d’un mode e-mail qui permets de prendre des photos de faible « résolution » (et donc de faible poids) qui peuvent être facilement envoyés à l’aide d’internet.
Voilà une petite carte postale numérique pour illustrer et conclure gaiement ce petit test !